Dans ma valise

La tenue 3 c’est une tenue de soirée. CALMEZ-VOUS. Sachant que j’ai un enfant qui va dormir à 21h environ. Soirée = regarder le coucher de soleil et rentrer coucher l’enfant. Peut-être boire un verre avant ou un restau si vraiment on est dans le bon timing mais rien n’est moins sûr.

Chemise coton cachemire Hircus

Débardeur Hemen

Jean Borali

Sandales Mibo

Lunettes Retrosuperfuture

Bagues Ombre Claire

Je ne sais pas.

Il y a quelque chose avec le large, quelque chose avec la houle salée, le cri des mouettes ou des goélands, le sable dans les doigts de pied, je ne sais pas ! Tout ça appelle un jean blanc.

Alors « blanc », entendons-nous, plutôt blanc cassé parce que blanc optique ça manque de subtilité. Mais blanc quand même.

Cette valise n’aurait pas été complète sans ce jean blanc Borali. Et au passage, j’hésitais à le renvoyer car j’ai habitué mes jambes et mon esprit à du plus ample mais je l’ai gardé parce que ce sera mon classique du genre.

Certains pourront se dire que c’est un coupe large mais pas à mon sens. A mon sens, c’est la base que tout homme devrait posséder. Pardon si j’en fais des louanges, Boras n’a pas déboursé un centime pour ça. Je l’ai payé de mes propres deniers.

Lui bien sûr, il le porte plus bas sur les hanches mais moi comme ça. C’est mon côté casual chic faut croire. Je le porte comme Gilles (avec lequel j’ai enregistré un podcast dernièrement). Plus haut sur la taille. Sans mouler vous savez quoi. C’est important.

Et je me suis surpris mais l’ouverture de jambes de 19,5cm est nickel. Il m’arrive de porter des pantalons à 24cm. Donc une sacrée différence. Mais faut savoir apprécier l’harmonie d’une coupe. Là c’est un tapered donc l’idée c’est justement qu’il se resserre à la cheville. C’est comme ça que les proportions sont belles. Et je vais vous faire une confidence.

Je commence à trouver que parfois droit n’est pas forcément très harmonieux. Je parle pour ma morpho, ne vous formalisez pas. Si ça se resserre un peu (j’ai dit « un peu » ! - le Borali c’est la maximum) cela va avoir tendance à rallonger mes jambes encore plus. Et franchement je ne dirai jamais non à quelques centimètres de jambes en plus. Même si c’est que visuellement. Je prends.

Donc taille haute, cuisses amples et allant se resserrant légèrement = banger pour le Jordy.

Ainsi, j’ai dit « banco » à Boris.

Pour le haut, c’est un camaïeu de bleu classique. Saupoudré du désormais combo débardeur et chemise ouverte. Sauf que là la chemise, elle a une texture nid d’abeille. Enfin, c’est pas forcément le bon nom et j’avoue que j’ai la flemme de rechercher car après tout, je suis en vacances, mais voilà. Texture, texture, texture.

Il manque des accessoires de cou, j’en conviens. Mais c’est vrai qu’en vacances, j’ai surtout envie d’en faire le moins possible je dois dire. Seules les lunettes restent immanquablement fixées sur mon nez. Ici des Retrosuperfuture dont la forme ne me va pas excessivement bien mais qui font le taff. Si le soleil tape fort, je remets mes Lesca des deux newsletters précédentes.

Oh et j’allais oublier. Aux pieds, j’ai mes minorquines fraîchement achetées sur les conseils de ma belle soeur et mon beau frère. Après quelques petites randonnées gentillettes pour rejoindre les platges les moins accessibles, elles se sont détendues et moi aussi quand je les porte.

Bises ensoleillées,

Jordan

PS : ça, c’est ma tenue de jour. Le maillot est un BonneGueule. comme quoi c’est possible d’avoir Borali